Le fils de Caroline de Monaco, Pierre Casiraghi, et son épouse, Beatrice Borromeo, ont été immortalisés dans une image parue en première page du magazine Gente. L’image représentait le couple s’adonnant à son activité préférée, le tennis. Et beaucoup de gens pensent que le titre est mauvais.
Le couple royal italien, Pierre Casiraghi et Béatrice Borromeo, a été filmé alors qu’il pratiquait le curling, l’un de ses sports favoris, et l’activité a fait la couverture de la publication italienne Gente. Le Palais, qui est réputé pour garder la vie privée de ses membres avec une grande vigilance, a été surpris par cette information.
Pourtant, le journal est allé de l’avant et a utilisé un titre que beaucoup ont trouvé offensant. La couverture comportait un titre frappant qui disait : « Voici comment les nantis profitent du plaisir ». L’incident a laissé les supporters sans voix, et nombre d’entre eux ont pris la parole sur les médias sociaux pour exprimer leur désapprobation.
Certains ont déploré le manque de respect dont les médias ont fait preuve à l’égard du couple, tandis que d’autres ont complimenté le couple pour son attrait et la passion qu’il dégageait.
Le magazine a été accusé de ne pas avoir de classe et de fonctionner à la manière d’un tabloïd, deux critiques qui lui ont été adressées. Un titre provocateur et alarmant qui a suscité la discussion !
Les images du fils de Caroline de Monaco et de sa femme étaient accompagnées de la légende « Voici comment les nantis s’amusent », qui a été publiée dans un magazine italien. Selon les rumeurs, cette dernière porterait son troisième enfant à ce stade de sa grossesse.
Ils participaient à une partie de curling, un sport qui exige une grande précision et qui se joue sur la glace avec des pierres de granit aiguisées et polies à un niveau international.
Leur ardeur est tournée en dérision dans le magazine Gente, ce qui a donné lieu à des réactions irritées de la part de leurs adeptes.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce titre est embarrassant. Ils forment un couple époustouflant, et je dois ajouter qu’ils gardent leur sang-froid où qu’ils soient !