Charles III a accordé ses faveurs au prince Harry et à Meghan Markle, exaspérant William avec un cadeau d’une valeur de 12 millions de livres.
Il a été rapporté que le prince Charles III a fait un effort significatif, sous la forme d’un grand geste, pour réparer sa relation avec son fils Harry et sa belle-fille Meghan Markle. Selon le magazine In Touch, le monarque leur a accordé un opulent appartement au palais de Kensington d’une valeur de douze millions de dollars. Une évolution surprenante pour le prince William et sa femme, Kate Middleton.
Mais pourquoi Charles III a-t-il ressenti le besoin de faire une telle démonstration publique de son autorité ? Le roi, connu pour son comportement glacial, se serait senti coupable et responsable de la douleur de son deuxième fils, qui a grandi sans sa mère, la princesse Diana. C’est ce qui ressort d’un article publié dans un magazine américain.
Un initié qui s’est exprimé sous couvert d’anonymat a partagé les informations suivantes : « Malgré tout ce qui s’est passé, Charles aime Harry et veut qu’il fasse partie de sa vie, même si ce n’est que pour quelques semaines ou quelques mois par an », a expliqué l’initié.
Cependant, il est possible que cette décision ait été prise pour une autre raison. Des inquiétudes ont été soulevées par Charles III concernant le livre de Harry, qui aurait subi une censure importante avant d’être publié.
La source a fourni l’explication suivante : « Charles est conscient que si Harry est bouleversé, il pourrait écrire un deuxième livre encore plus explosif ». « En s’assurant que Harry et Meghan ne sont jamais loin de lui, Charles aura une plus grande capacité à garder le contrôle de la situation et à éviter tout autre préjudice à la famille royale. »
Par conséquent, Charles III espère que la réparation des liens familiaux brisés et la protection de la monarchie britannique contre toute révélation embarrassante peuvent être accomplies grâce au don d’un appartement luxueux à Harry et Meghan. Selon le magazine In Touch, la famille royale participe à un jeu sournois, mais comme le dit le vieil adage, « gardez vos amis près de vous, mais vos ennemis encore plus près. »
