Aya Nakamura a fait son retour dans l’industrie musicale avec la sortie de son dernier album, DNK, qui est son quatrième au total. Pour l’occasion, elle a ouvert le rideau sur son histoire et révélé que sa vie n’a pas été un exemple de réussite.

Même un avortement sous la contrainte est mentionné dans le magazine Public. Malgré la pression de son entourage musical, elle a décidé de ne pas avorter et a poursuivi sa grossesse.

L’hebdomadaire reprend un article publié dans le quotidien Le Monde. Le journal lui a consacré un dossier et a abordé les secrets enfouis dans son passé.

Aya Nakamura a découvert qu’elle était enceinte de son premier enfant à l’âge de 20 ans, au moment où elle commençait sa carrière professionnelle. Et on lui a suggéré de se faire avorter.

Quand Aya Nakamura repense à cette période stressante de sa vie, elle se souvient qu’elle a « commencé à faire un peu de bruit » pendant sa première grossesse.

On m’a suggéré de me faire avorter si j’avais l’intention de poursuivre une carrière de chanteuse. Je n’étais pas d’accord.

En outre, elle est mère de deux enfants âgés respectivement de 7 ans et de 6 mois.
Et le fait qu’elle soit allée à l’encontre de l’avis de son entourage musical et ait décidé de garder l’enfant est une autre preuve de la puissance de sa personnalité.

Ce témoignage met non seulement en lumière la violence impitoyable que l’industrie musicale inflige aux femmes, mais il valide également le caractère fort de la chanteuse, qui est désormais mère célibataire de deux filles âgées de 7 ans et 6 mois.

En plus de mettre en lumière la violence impitoyable que l’industrie de la musique inflige aux femmes, ce témoignage confirme également.