Charlene de Monaco, qui a eu 45 ans en janvier de cette année, aurait été mêlée à une histoire épouvantable de sa vie antérieure. Elle ne s’est pas encore remise de cette épreuve.
Et cet événement traumatisant qu’a vécu l’épouse du prince Albert de Monaco est rapporté par le magazine France Dimanche. France Dimanche s’appuie sur une révélation de la journaliste sud-africaine Arlene Prinsloo, auteur de la biographie consacrée à la mère de Jaques et Gabriella, « Charlène story : l’étonnant destin de la nageuse devenue princesse de Monaco ».
« C’est une personne intrigante, il y a eu un grand nombre de rumeurs à son sujet, et il y a une sorte de brouillard caché sur elle et sa vie, comme si on ne pouvait pas vraiment en parler, alors j’ai dit oui et j’ai écrit le livre sur ce sujet.
J’ai lu tout ce que j’ai pu trouver sur Charlene, ce qui est littéralement tout ce qui m’a été offert », a déclaré l’expert en têtes couronnées à Gala au cours de leur conversation.
L’événement tragique en question est l’évacuation des parents de Charlene du Zimbabwe avec leurs trois enfants, peu après que leur maison ait été détruite par un incendie au début des années 1980.
Cet événement s’est produit pendant la « guerre de la brousse » qui a duré de 1972 à 1979 et qui est considérée comme un facteur contribuant à l’effondrement de la Rhodésie du Sud.
Selon ce que dit Arlene Prinsloo dans son livre, « les Wittstock ont résidé dans un hôtel pendant un an avant leur départ pour l’Afrique du Sud ». La princesse de Monaco, Charlene, n’avait que 11 ans à l’époque.
« Les mots « Grieve, nous ne reviendrons pas » nous ont été dits par notre père. Mes petits frères avaient 6 et 9 ans. C’était la fin de la vie que j’avais connue, y compris tous mes amis et les dimanches après-midi que nous passions à jouer au cricket dans les fermes »- je la cite.
Selon ce qu’elle a partagé dans une interview avec Paris Match, l’exil en Afrique du Sud a été un défi au début.
» Il avait été décidé que je ne serais pas parmi les autres enfants. J’ai été témoin des injustices et des disparités que les jeunes sont souvent obligés de subir « selon l’ancienne nageuse.