Laeticia Hallyday a peut-être pu éviter le scénario du pire avec Johnny Hallyday au vu des récentes difficultés de Pierre Palmade, qui lutte notamment contre d’importantes addictions.
Jeanne Boyaval, psychologue, a, comme le rappelle la publication Johnny Actualité, mené une étude approfondie sur la personnalité complexe et attachante du « Taulier ».
Pour préparer l’événement, elle revient sur les spécificités de son analyse et explique comment son travail au sein de la MILDT (Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie) lui a apporté un regard unique sur les agissements du conjoint de Laeticia Hallyday.
Selon la théorie de la Gestalt, la consommation d’alcool est considérée comme un ajustement constructif, une béquille qui permet de vaincre ses démons et d’oublier ses traumatismes.
Johnny se tournait vers l’alcool non seulement pour socialiser avec ses copains, mais aussi pour atténuer l’intensité de sa souffrance. Il est possible qu’il se serait évanoui s’il n’avait pas bu.
Sa consommation procure la sensation d’avoir le contrôle sur ses sentiments et de pouvoir réguler son état interne et ses émotions : un verre ou deux donnent le vertige, une bouteille engourdit, et quelques shots donnent l’impression d’être un zombie « – je la cite. Il est possible que la chanteuse ait activement recherché ces états d’âme. Heureusement, Laeticia Hallyday a su le ramener à la raison.
Pierre Palmade, qui n’aurait pas eu quelqu’un pour calmer ses inquiétudes, serait mort seul.
Johnny Hallyday a consommé de la cocaïne devant Laeticia Hallyday, comme elle l’avoue, et elle a refusé l’invitation de Johnny à le faire avec lui lors de leur tout premier rendez-vous.
La seule addiction que le père biologique de ses filles lui a donné est une dépendance à la cortisone, qu’il utilisait en grande quantité « comme Elvis avec son cocktail de tramadol et de paracétamol. »