Charlène de Monaco, qui vient de se débarrasser d’une addiction aux somnifères, aurait un autre problème de toxicomanie, selon un rapport d’un magazine allemand.
Le magazine Voici a publié un article sur l’addiction de la Première Dame du Rocher aux somnifères et aux analgésiques l’année précédente, alors qu’elle se trouvait en Afrique du Sud et qu’elle était au plus bas de sa vie. Mais depuis lors, la question de la dépendance a été résolue.
Le père de ses charmants jumeaux, le prince Albert, a été d’un grand soutien dans cette entreprise. Lors d’une interview accordée à People, il a déclaré.
« Elle était consciente que la meilleure solution pour elle était de se reposer et de suivre une thérapie supervisée par un médecin. « Elle est arrivée d’elle-même à la conclusion qu’elle avait besoin d’aide », a remarqué le prince souverain de Monaco. Il est impossible de convaincre quelqu’un contre sa volonté qu’il a besoin d’une thérapie ; c’est plutôt à la personne de reconnaître ce fait par elle-même.
L’édition allemande d’In Touch affirme que la Première dame a une deuxième « addiction », à savoir les vêtements coûteux, considérés comme le masque d’une maladie plus grave.
Elle aurait dépensé un total de 740 000 euros en une seule année, soit près de 11 000 euros par pièce.
Pourquoi Charlene, qui vient d’une famille modeste et est connue pour avoir une personnalité foncière, fait-elle une telle fixation sur ce niveau de consommation excessive ? (…) Il semble plus probable que la princesse souhaite compenser sa misère dans l’enceinte du Palais de Monaco par des tenues onéreuses de créateurs tels qu’Akris, Dior ou Armani afin de se faire pardonner. Fidèle à l’esprit du slogan « J’achète le bonheur« .